
Le rêve des Cyclades commence souvent… sur la mer
Il y a quelque chose de magique dans l’instant où l’on quitte le port du Pirée ou de Rafina, le regard rivé sur l’horizon, avec la promesse des Cyclades qui s’approche. On pense aux maisons blanches, aux dômes bleus, aux villages perchés, mais le voyage commence bien avant l’arrivée : sur le pont d’un ferry, bercé par le vent marin.
Lorsque j’ai préparé mon premier itinéraire dans les Cyclades, je redoutais un peu les trajets. Comment relier Naxos, Paros, Milos ou Santorin sans perdre trop de temps ? J’avais entendu parler de longues traversées et d’attentes interminables. Finalement, j’ai découvert qu’il existe une manière bien plus fluide et agréable de voyager entre les îles : les ferries rapides.
Pourquoi j’ai choisi Seajets ?
Gagner du temps sans perdre la magie du voyage
Au lieu des huit heures annoncées pour atteindre Santorin, j’ai opté pour une traversée en à peine la moitié du temps. Le ferry fendait la mer Égée à vive allure, et je pouvais profiter du spectacle : le bleu infini de l’eau, les silhouettes d’îles qui se dessinaient au loin.
Une flexibilité précieuse
Dans les Cyclades, chaque voyageur construit son propre itinéraire. Certains enchaînent deux ou trois îles, d’autres en explorent six ou sept. Ce que j’ai apprécié avec Seajets, c’est la possibilité d’avoir plusieurs départs par jour, ce qui me permettait de décider au dernier moment si je prolongeais mon séjour à Paros ou si je partais directement pour Mykonos.
Un confort inattendu
Je m’attendais à un simple moyen de transport, mais j’ai trouvé bien plus : sièges spacieux, climatisation bienvenue en plein été, et la sensation rassurante de voyager en sécurité, même lorsque la mer se montrait capricieuse.
Mon itinéraire en deux semaines avec les ferries rapides
Pour te donner une idée concrète, voici le circuit que j’ai réalisé :
- Athènes → Paros (départ en matinée, arrivée en quelques heures, juste à temps pour un déjeuner en bord de mer à Naoussa).
- Paros → Naxos (traversée express de moins d’une heure, parfaite pour un aller-retour si on veut garder une base fixe).
- Naxos → Santorin (spectaculaire, avec l’arrivée face à la caldeira qui reste gravée à vie).
- Santorin → Milos (une des plus belles surprises, Milos est encore plus authentique et préservée que ce que j’imaginais).
Chaque trajet devenait une parenthèse, comme une respiration entre deux îles. Ce n’était pas une contrainte, mais une partie intégrante du voyage.
Ce que je conseille à ceux qui préparent leur voyage
Réserver tôt, mais garder de la souplesse
En haute saison, les ferries se remplissent vite. J’avais réservé mes premiers trajets depuis la France, mais une fois sur place, j’ai apprécié la possibilité de modifier certains billets selon mes envies.
Voyager léger
Mon plus grand conseil : éviter les grosses valises. Monter et descendre du ferry est tellement plus fluide quand on voyage avec un sac à dos ou une valise cabine.
Profiter du trajet
Plutôt que de voir la traversée comme un simple transport, je conseille vraiment de s’installer près d’un hublot (ou sur le pont quand c’est possible) et de savourer le spectacle. C’est un moment suspendu entre deux mondes.
La mer comme fil conducteur du voyage
Les Cyclades ne sont pas seulement une destination terrestre, elles sont un archipel qui se vit sur l’eau. Entre chaque île, la mer tisse un lien invisible, et les ferries rapides sont la clé qui permet de le parcourir sans effort.
Si je devais résumer mon expérience : voyager en ferry rapide dans les Cyclades, c’est transformer ce qui aurait pu être une contrainte en une véritable joie. Le voyage commence dès que l’on quitte le port, et chaque arrivée dans une nouvelle île devient un petit moment d’émerveillement.
Alors si tu prépares ton premier périple dans les Cyclades, je ne peux que te conseiller d’embarquer. La mer Égée n’attend que toi.
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