Depuis le village de San Michalis ou à partir d’Ermoupoli par la route nord, un sentier longe les falaises jusqu’au phare de Syros. La marche est douce mais isolée, bordée de roches rousses et d’herbes odorantes. Au bout du chemin, le phare blanc surgit, solitaire, face à la mer ouverte. Le vent y est plus fort, les vagues plus profondes. On s’assoit là, à même la pierre, pour contempler l’immensité. Ce bout du monde cycladique offre un vrai face-à-face avec les éléments — simple, brut, essentiel.
A propos clemence
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Rêveuse et voyageuse. Je parcours les Cyclades et le monde en solo
J'espère vous apporter des conseils et vous donner de bonnes adresses.
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